côme ▬ une vie sans amis est une mort sans témoins.

Alouuurs
J'ai peut-être une idée, à toi de rajouter/enlever des trucs ou carrément dire que t'aime pas (:

Citation :

LE PRINCE CHARMANT – « Je t'aime. »

Donna ne réagit pas immédiatement. Le jeune garçon, planté en face d'elle, son regard doux et flamboyant planté fièrement dans le sien, venait de lui faire une déclaration. Elle n'aurait jamais envisagé leur relation ainsi. Elle finit par sourire.

LE SOLEIL – « Moi aussi. »

Après ce soir d'été, dans un coin du campus, les deux jeunes amoureux filèrent durant quatre mois le parfait amour. Côme, ensorcelé, ne touchait plus à aucune autre fille que sa bien-aimée, ce qu'il avait l'habitude de faire de temps en temps, pour se détendre. Bientôt, tout les étudiants furent au courant de cette idylle. Pourtant, au bout de cinq mois, Côme sentait que son amour pour la belle brune se transformait. Il avait de plus en plus de réticence à l'embrasser, à faire l'amour avec elle et tout ce qui touchait à ça. Il ne comprenait pas, étant sûr que son attirance n'avait pas changé. D'ailleurs, il était toujours anxieux lorsqu'il ne la voyait pas, il était toujours protecteur envers elle et lorsque d'autres garçons se montraient trop insistant, il avait la fâcheuse tendance d'avoir envie de les encastrer. Il avait beau faire de son mieux pour ne rien laisser paraître, pour agir normalement et pour comprendre ce qui clochait chez lui, il ne pouvait s'empêcher de se dire que c'était plus l'amour qu'aurait un grand frère pour sa soeur qu'il éprouvait pour Donna. Lorsqu'il décida d'en parler à sa compagne, cette dernière, bien qu'elle comprit plus ou moins ce que le jeune homme ressentait, à compter de cette soirée, ne lui adressa plus, ou que très rarement la parole. Pendant presque un an, il ne se sont plus parler.

Cette situation attristait et pesait à Côme qui, bien qu'il était à présent sûr de ne plus être amoureux de Donna, la voyait toujours comme une amie proche, qu'il adorait et voulait aider – une petite soeur. C'est ainsi que, le soir où il se décida à aller lui rendre visite, dans sa chambre, il la retrouva assise en chien de fusil sur son lit, des larmes coulant de ses yeux. Son coeur se serra et il ne put s'empêcher de s'approcher, malgré le regard désapprobateur que lui jetait Donna.

LE PRINCE CHARMANT – « Donna ? Qu'est-ce qu'il y a ? »
LE SOLEIL – « Fous-moi la paix, Côme, mêle-toi de ce qui te regarde ! »

Bien qu'il fut quelque peu blessé, il n'en montra rien, trop préoccupé par l'état de la jeune fille pour se soucier de sa fierté. Sans faire attention aux protestations de la brune, il s'assit en tailleur à côté d'elle et tourna le regard vers elle. Il la regarda comme ça durant cinq bonnes minutes avant que, Donna, vaincue, ne soit convaincue des bonnes intentions de son ex petit-ami.

LE SOLEIL – « Il n'y a vraiment aucun garçon qui veuille de moi, dans cette université ?! »
LE PRINCE CHARMANT – « Ne racontes pas n'importes quoi, tu es magnifique. »

Elle sanglota, tandis que le coeur de Côme se serra derechef. Que s'était-il passé ? Son petit-ami actuel l'avait-il éconduite ? Dans un élan de tristesse, elle se percha sur les genoux et se laissa tomber dans les bras du brun, enfouissant son visage dans son cou, et pleurant sur son épaule. Elle ne s'était pas souciée de si Côme serait mal à l'aise et de si il allait la repousser. Mais en sentant qu'il hésitait et qu'il ne régissait pas, elle se recula immédiatement et reprit sa position de chien de fusil.

LE SOLEIL – « Excuse-moi. »

Au bout de quelques secondes, Côme, reprenant ses esprits, se pencha, délia les bras de Donna qui étaient enroulés autour de ses genoux et la reprit contre lui. Donna ne s'en étonna pas vraiment. Il était comme ça. Après une dizaine de minutes à la réconforter et à lui promettre que tout allait s'arranger, Côme fut heureux de constater que Donna avait retrouvé le sourire. Il fut néanmoins désarçonné lorsqu'elle prit la parole, tandis qu'il s'apprêtait à sortir de la chambre.

LE SOLEIL – « Tu sais, je crois comprendre pourquoi tu as rompus.. »
LE PRINCE CHARMANT – « Euh.. Je euh.. »
LE SOLEIL – « Quand je te vois, j'ai l'impression de voir mon frère. »

Côme fut soulagé de voir qu'elle souriait. Il s'approcha, prudemment mais bien décidé, saisit le visage de Donna entre ses mains et lui embrassa le front.

LE PRINCE CHARMANT – « Viens me voir s'il y a quoi que ce soit, d'accord ? »

Donna acquiesça et le beau brun fourra ses mains dans ses poches, retournant vers sa chambre, le regard rivé vers le ciel parsemé d'étoiles. Depuis ce jour, un lien très fort unit les deux étudiants. Donna considère Côme comme son meilleur ami et voit également en lui un frère à qui elle peut se confier, tandis que lui, à l'instar de lorsqu'ils étaient ensemble, fait tout ce qu'il peut pour protéger et aider cette petite soeur qu'il aime tant.

Un lien ?

Le passage le plus délicat ...
Je voudrais bien quelque chose de positif, mais sur le coup il n'y a rien qui me vient ...
Je vais relire ta présentation pour voir si quelque chose m'interpelles, cependant si tu as une idée

Après une longue ( très longue ) réflexion, j'ai finalemen réussis à trouver un petit bout d'idée.
Je ne sais pas du tout si elle va te plaire, mais autant essayer =)

Le jeu du Cap / Pas Cap. Maintenant, si tu es déjà d'accord sur cette base. On peut commencer à réfléchir à ce qui a poussé les deux étudiants à se lancer dans ce jeu infernal qui peut parfois aller très loin.

C'est parfait ! =D
Je t'ajoute alors